22 octobre 1975 - Posé en douceur de Venus 9

Vénus n'est plus du tout "à la mode" ... il faut dire que son exploration pose des problèmes difficiles en raison de son environnement et il est impossible d'imaginer des petits rovers survivant 5 ans dans l'enfer vénusien

Si Vénus n'est plus à la mode c'est aussi une question de budget ce qui implique des choix. L'effort s'est concentré sur Mars parce que cette planète est de loin plus "attrayante" et intéressante que Vénus. Cependant, malgré les conditions épouvantables qui règnent sur Vénus, je pense qu'avec la technologie actuelle on pourrait opérer à sa surface pendant plusieurs heures sans trop de problèmes, ce qui permettrait déjà de faire pas mal de choses.

Vénus intéresse quand même les scientifiques.
Vénus se drape dans l'ozone

Citation :

17/10 | 07:00 | Alain Perez

C'est une des surprises révélées récemment par la sonde Vénus Express de l'Agence spatiale européenne, la planète Vénus est entourée d'une couche d'ozone tout comme la Terre. C'est en analysant la lumière du Soleil qui traverse son atmosphère que la mission européenne a détecté la présence de ce corps chimique composé de trois atomes d'oxygène. Ces molécules ont la propriété d'absorber le rayonnement ultra-violet provenant de l'espace et jouent donc un rôle d'écran protecteur contre ces radiations très agressives. Cet O3 est le résultat de la dissociation du dioxide de carbone présent dans l'atmosphère très dense de Vénus. Cette couche d'O3 protectrice existe également sur Mars.

Je n'ai pas dit que Vénus était inintéressante.

Ce que j'avais compris avec:

Explorer a écrit:

Cependant, malgré les conditions épouvantables qui règnent sur Vénus, je pense qu'avec la technologie actuelle on pourrait opérer à sa surface pendant plusieurs heures sans trop de problèmes, ce qui permettrait déjà de faire pas mal de choses.

Pour Vénus 9 et 10, la France a participé:



Pour combien de G on parle d'atterrissage dur?

Les sondes vénusiennes comportaient aussi un module mis en orbite autour de l'Etoile du Berger.
Compte rendu d'Albert Ducrocq dans Air & Cosmos du 8 novembre 1975 :