Oui mais pas au niveau du segment inférieur qui est en quelque sorte le talon d'achille de ce sytème.
Qu'on installe sous sa coiffe une ou dix tonnes de charge utile, le lanceur a toujours besoin pour s'arracher du sol de ses deux gros accélérateurs (très coûteux).
Le lanceur complémentaire Soyouz (3 t en GTO depuis Kourou) semble une bonne chose mais ne résout pas tout.
Pour l'avenir, les instances européennes devraient opter pour un retour à la formule modulaire d'Ariane 4, ou plus exactement celle des EELV US et H-2 nippon, pour leur projet Ariane 6.